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L’apparition et la généralisation récente des ondes électromagnétiques dans notre quotidien a entrainé au cours des décennies passées une prise de conscience des populations et des autorités sanitaires se traduisant par l’élaboration de recommandations et de normes visant à protéger tout particulièrement les enfants, les personnes fragiles et les travailleurs.

La problématique quant aux effets des champs électromagnétiques dus aux extrêmement basses fréquences et aux hyperfréquences sur la santé ne peut être dissociée de la durée et de l’intensité de l’exposition aux rayonnements électromagnétiques présents dans notre environnement.

Les normes de conformité des technologies existant sur le marché nous protègent des risques d’électrocution et des effets indirects des appareils électriques. Par exemple, le DAS (Débit d’Absorption Spécifique) des téléphones portables, autrement dit l’absorption d’énergie produisant de la chaleur, est un effet thermique direct du à une exposition de courte durée aux hyperfréquences.

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a classé les champs électromagnétiques de basses fréquences catégorie 2B, cancérogène possible. En cohérence avec des études épidémiologiques et toxicologiques internationales établissant un lien avéré entre et l’exposition in utero aux lignes à hautes tension et la leucémie infantile, des dysfonctionnements du système immunitaire ou le développement de processus cancéreux.

L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a classé les hyperfréquences catégorie 2B, cancérogène possible. Suite à de nombreuses études internationales tant civiles que militaires, dont les conclusions témoignent de nombreux risques pour la santé.

Effets cancérogènes, maladies neurodégénératives, Alzheimer, rupture de l’ADN, maladies chromosomiques, hypofécondité,…, la liste des effets non thermiques et à long terme de l’exposition aux ondes électromagnétiques est longue.

L’ECERI (European Cancer and Environment Research Institute) a établi chez les personnes souffrant du Syndrome d’Intolérance aux Champs Électromagnétiques (SICEM) ou d’Électro-HyperSensibilité (EHS) un panel de paramètres biologiques (baisse de la mélatonine, production d’hormones de stress, d’histamine, de nitrotyrosine, hypovascularisation du cerveau) permettant un diagnostic fiable. Le Conseil de l’Europe recommande à ces États membres de « porter une attention particulière aux personnes « électrosensibles » atteintes du syndrome d’intolérance aux champs électromagnétiques ».

Maîtriser et réduire son exposition aux rayonnements électromagnétiques, dans l’environnement, public, domestique, et professionnel, est désormais plus qu’une évidence, c’est une nécessité.

Des solutions existent. Mettons-les en œuvre.

 

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